lundi 2 décembre 2024

 

Les fruits du temps…

 

Les dates sur mon calendrier,

Ont perdus leur goût sucré,

Devenues des fruits du passé,

Elles sont maintenant périmées.

 


Elles ont les calendes frugivores,

De ces moments pleins d’espoir,

Ces jours de rêves luminophores,

Cachés dans les replis de la mémoire.

 




Elles s’adaptent au goût du jour,

Ces dates pourtant sans retour,

Et quand on les prive de leurs atours,

Elles ne sont plus que vieux discours…




On en fait de doucereux fruits confits,

Ces dates, que si souvent l’on confie,

À nos mémoires devenues nostalgie,

Des jours depuis longtemps enfuis…



mardi 15 octobre 2024

 

Les barres parallèles…

Chapitre 13

De cafards cadavériques, et des armes à insecticide exponentielle.

 

Quand les navets traversèrent la place du marché, nouvellement approvisionnée en cadavres cafardeux, ils avaient la mine déconfite (il faut dire que l’odeur émanant n’était pas celle de la viande confite). Leur traversée du champ de bataille (qui était passé de champ de mines à champ déminé (les mines avaient exterminé, ensuite elles avaient été déterminées (non des terres minées, mais des terminés)) plein de corps laminés (celui qui l’a miné ce champ, il a fait exploser ses occupants)) se fit dans un silence sépulcral.

Les Spartakiens étaient abasourdis par l’ampleur du carnage qu’avaient provoqué leurs armes aliénées (de provenance alien) qu’ils avaient volé (vol qui leur avait permis de prendre leur envol) dans la prison alien (à liens dont il se défirent lors de leur défection du statut de prisonnier. (S’t’a-tu une belle évasion un peu !)) Ce qui dans ceci expliquait cela était que les armes de ces cafards sudistes (c’est bien connu : les cafards prolifèrent sous la chaleur du sud) était d’un fonctionnement abscons, (que s’absentent les cons) qui n’était pas évident pour qui était évadant.

Le calibrage desdits armements allait de la puissance maximum à l’impuissance minimum, contrairement à l’étalonnage habituel des armes létales (on l’étale par terre celui sur qui on tire). Ce qui fit en sorte que ne voulant qu’étourdir les blattes qui se trouvaient sur leur chemin, ils les trépassèrent, faisant d’eux des ex vivants (les vivants du passé sont les morts du présent). Mais le tir déjà dévastateur qu’ils avaient tiré (le tir tiré n'est pas retiré, même s’il a tout d’un pléonasme étiré) avait entraîné une conséquence bien pire que la précédente. Non seulement ils avaient fait place nette sur la place du marché, mais il y avait eu des effets placés nettement hors du marché : tous les cafards de la planète avaient été exterminés quand le rayon insecticide s’était répandu.

Ce qui dans cela expliquait ceci était que l’arme possédait un mécanisme de tir exponentiel : les victimes se multipliaient à l’infini, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’infinitude dans cet expansionnisme victimaire, et que l’infini se fisse infinitésimal.

Que les habitants de cette planète aient développé une arme capable d’éliminer toute vie cafardeuse était un mystère. Tout le monde se demandaient pourquoi ils avaient créé une arme aussi destructrice. (Tout le monde sauf les quelques centaines de milliards d’individus qui ne liront pas cette histoire (d’ailleurs, face au nombre astronomique d’êtres vivants sur la terre et dans l’univers qui ne liront pas mon histoire, je revendique le titre de l’auteur le plus moins lu de l’univers).

Quand les Spartakiens comprirent ceci, cela les stupéfia. C’était absurde. Qui étaient ces fous pour développer des armes de destruction massive ? Ils se dirent que ce n’étaient certainement pas des êtres humains qui fûtes (qui fûtes fussent, même s’ils le furent) assez suicidaires et insensés pour créer de tels instruments d’apocalypse appliqué. Les hommes étaient plus sages que cela, même s’il y en eut deux ou trois dans l’équipage pour suggérer de leur envoyer quelques bombes nucléaires quand ils seraient de retour dans le Spartacus, question d’annihiler toutes formes de vie sur la planète et s’assurer ainsi le silence d’éventuelles races sentientes qui eussent pu être témoins de ce génocide accidentel.



Mais heureusement, les humains originaires de la ville de Capharnüm qui étaient en grand nombre sur cette planète, et qui n’étaient cafardeux que de nom, les assurèrent qu’ils veilleraient au grain, et qu’ils se feraient une joie d’exterminer toutes races assez évoluées qui pourraient un jour dénoncer les uns aux autres.

Une fois ces considérations diplomatiques réglés, maintenant qu’ils avaient terminé la traversée de la nécropole (où le champ aux mortifications) aux destinées accomplies (on peut penser que les destinées sont accomplies quand vient le temps de la putréfaction), ils étaient libres de compléter leur mission.

Pour leur complète missionnaire, ils se rendirent dans le secteur de la ville où se trouvait les entrepôts. Comme il n’y avait plus de cafards vivants entreposés, ils purent en faire le tour afin de repérer tout ce qui pouvait leur servir. Par un heureux hasard (l’heureux hasard naît de la plume de son auteur) les cafards consommaient la même chose que les humains et possédaient un métabolisme semblable. Ils pouvaient donc puiser allégrement dans les réserves. Les réservistes étant tous morts, ils ne leur mirent pas d’embûche (il y avait déjà des termites dans bûche). Quand ils eurent fait le plein dans les entrepôts avides (à vide maintenant qu’ils étaient vidés), satisfait du succès de leur mission diplomatique, la navette gorgée de provisions, ils retournèrent au vaisseau mère (mais pas à mère, l’amertume n’étant pas une option) pour repartir vers de nouvelles aventures…

lundi 23 septembre 2024

 

Le temps qui trépasse…


 

L’effleure du temps,

Blesse les fleurs du présent,

S’amoncellent les nuages de demain,

Dans les aléas d’un avenir incertain.

 







L’hier qui s’oublie dans le présent,

Est un hiver qui s’étire au printemps.

Mais où sont les neiges d’antan [1] ?

Enfuies avec les rires des enfants…

 







L’horloge a perdu le sens de la durée,

Ses aiguilles la shootent d’intemporalité,

La discontinuité se répand dans ses veines :

La relativité s’y déploie sans plus de gêne…

 







Puis la minuterie tombe au point mort,

Le futur dépaysé se purge d’hellébore[2],

C’est qu’il a oublié de passer au présent,

Et maintenant, il n’en aura plus le temps !



[1] François Villon : « Balade des dames du temps jadis. »

[2] Dans l'Antiquité, on croyait les hellébores propres à guérir la folie et la mélancolieAinsi, dans la fable, le lièvre dit à la tortue qu’il lui faudrait purger avec quatre grains d’ellébore.

mardi 14 mai 2024

 

Les barres parallèles…

Chapitre 12

Des râteliers armés, et des blattes battantes.

 

L’inondant liquide, (ou l’aqueuse liquidité) se répandaient dans tous les coins et recoins de la prison, où il faisait un froid de canard (s’exprime par le recoin qui est un coin bis, mais pas un bitcoin). Les emprisonnés, qui n’avaient qu’une cellule à se partager (ce qui limite le niveau de réflexion), devenaient de plus en plus numides (habitants de l’Humidie, peuple d’intellectuels dont la devise est : « Ce que j’ai lu mi dit fit cela et aquifère confiance »). Ils surnageaient donc au milieu de la houle envahissante, s’efforçant de garder leur tête hors de l’eau. Mais heureusement pour ces emmurés piscicoles, quand la flotte frotta les barreaux du cachot (et non du cachalot), elle les dissolus (comme une fontaine fondante de fonte de dix sous). Les barreaux destitués de leur fonction carcérale, ils purent s’enfuir de leur geôle (à ne confondre avec la gnole, qui elle servira de dissolvant inhibitoire lors de leurs libations de libération).

Ils purent s’enfuir, et comme Moise sauvé in extrémis des eaux, ils firent l’école boissonnière (Moise devait prendre beaucoup de boisson pour parler aux buissons), se sauvant des eaux de leur captivité pas du tout captivante (pour eux, pas pour les lecteurs de cet haletant récit). Ils s’en furent donc dans les couloirs, courant pour fuir les courants découlant de l’inondation.

Ils parcouraient les couloirs suintants souterrains (bientôt sous-marins) quand soudain Soda s’arrêta subitement. Derrière lui stoppèrent également ses suivants subissant l’assaut transpirant.  Ils avaient devant eux un râtelier, sans rats à bord mais garnis d’armes à ras bord. Cette découverte d’impromptue coïncidence, mais de consistance mortelle, allait faciliter leur sortie pénitentiaire. Ils s’équipèrent donc de ces armes si opinément (la lapine opine au lapin pour qu’il la pine) oubliés par leurs geôliers. Maintenant qu’ils étaient opportunément armés, (opportunité pour eux, mais importunité pour leurs ennemis) ils foncèrent vers la sortie (l’assorti de leurs désirs) de la prison.

Ils y arrivèrent et s’en extirpèrent (de la prison). Quand ils furent arrivés au balcon, sur les lieux du devant de l’édifice qu’ils avaient espéré déserte de cafards, il y avait des millions de citoyens blattatrias (des cafards prêts à se blattre). Ils s’étaient agglutinés sur la place pour le carnaval cafardeux qui battait son plein. Au début de ce passage défoulé (de dans la foule) nul ne les remarqua, on les prenait pour des carnavaleux bienheureux, déguisés en aliens nécessiteux (leurs habits, qui avaient subis les affres de la séquestration, étaient devenus des haillons lobotomisé (expression de la même famille que lambeaux tissés (bien qu’ils ne soient cousins qu’aux 18ième  degré, force m’est de l’avouer)) …

Ils fendirent donc la foule, incognito d’apparence avec leurs haillons d’anonymes confections. Mais avant qu’ils ne se fussent faufilés au milieu de cette assemblée disparate et qu’ils en fûtes émergé, un cancrelat suspicieux (un cancre las des doutes, mais un cancre là sans doute) les suspectât (il avait la suspicion suspicieuse envers les corps étrangers, il faisait l’alien entre étrangers et criminels) de n’être pas ce qu’ils ne paraissaient ne pas être (déguisés sans déguisement qu’ils étaient (être ou ne pas être déguisé, telle fût la question)). Le soupçonneux xénophobe porta ses soupçons à l’attention de ses congénères, qui décongestionnés par cette information, se désengluèrent les uns d’avec les autres pour se positionner en position défensive de type frontal (de la même famille que frontières, mais cousins au 16ième degré) afin d’empêcher ces fuyards de foule de devenir des enfuis de la planète…

Ce fut un choc frontal au cours duquel il y eut peu de passants, mais beaucoup de trépassant…





lundi 22 avril 2024

 Poème éthylique

(Ou les élucubrations de Bacchus !)

 

Avec la page d’un livre ouvert,

Le dernier client prend un vers,

Il s’enivre des rêves frelatés,

D’une langue qui s’est égarée…

 


C’est d’une prose éthylique,

Que se compose l’ode idyllique,

L’ensommellier lève son vin,

À ces vers si fiction, écrits en vain.

 






Quand le déclamateur aviné,

Se perd dans les rêves oubliés,

Il récite une oraison délirante,

Bercé par son ivresse redondante

 







La dernière sommation du tenancier,

Sonnera le glas du poète alcoolisé,

Et quand s’éteindront les lumières,

Il s’endormira dans son ultime bière !

lundi 12 février 2024

 

Les barres parallèles…

Chapitre 11


De l’anonymat sous les projecteurs et des sourciers sans ressource.

                

L’obscur personnage qui refusait de sombrer dans l’anonymat lors du chapitre précédent…  Hum… Ce retour de chapitre doit être clarifié. Je fais donc un temps d’arrêt à des fins (même si ce n’est que le début du chapitre) d’éclaircissements au sujet de ce renvoi littéraire. (J’ai une grande expérience de ce domaine, j’ai moi-même reçu de nombreux manuscrits qui m’ont été renvoyés par des maisons d’édition.)

En effet (en nez fait pour sentir ce qui importe (les idées d’autres chapitres que l’on importe dans celui en cours) dans le récit) vous qui lisez le chapitre précédent du suivant en ce moment, n’avez peut-être pas lu ledit chapitre président (présidant aux événements de celui que j’écris au moment même où vous ne le lisez pas). Vous avez intérêt, pour faire fructifier le capital de votre connaissance de cette histoire, à lire le renvoi maintenant. Pour ce faire, je vais mettre ce récit sur pause (sur ce récif il se repose). Et pour ce faire (fer à repasser les détails de l’histoire) pendant que vous effectuez un retour en arrière, (il est plutôt rare que l’on fasse un retour en avant) je propose un interlude éducatif pour ceux qui ne se réexpédient pas dans le passé récent cette histoire (ils ont une traction avant et jamais ne reculent…

Le Macareux moine (Fratercula arctica) est une espèce d'oiseaux marins pélagiques nord-atlantique qui vit en haute mer, sauf lors de sa reproduction qui le contraint à rejoindre la terre ferme où il niche sur les pentes enherbées, les îles ou sur des falaises… Maintenant que vous avez appris tout ce que vous ne vouliez pas savoir à propos de l’oiseau monastique mariné à la reproduction interdite sauf sur la terre qui se ferme aux fadaises des iliens aux plantes désherbées, (l’interlude me fut réellement éducatif) nous pouvons poursuivre notre récit...

L’obscur cité donc, s’étant retrouvé sous les feux des projecteurs, maintenait que maintenant qu’il était allumé, on ne pouvait plus l’éteindre (mais qu’on pouvait l’étreindre si on l’aimait bien). Il se voulait d’ampoule vivace et de luminosité tenace, tel un réverbère qui persévère. Illuminé par le réflecteur littéraire, il aspirait à devenir un personnage inspirant (s’il manquait de souffle, il voulait qu’un souffleur lui inspire ses répliques) et important de cette histoire. Aussi pour s’importer dans l’obscure-clarté (à ne pas confondre avec le clair-obscur), exposa-t-il le plan machiavélique qu’il avait ourdi (ce qui l’avait étourdi) à ses compagnons cellulaires afin d’inonder leur lieu de détention. Lieu dont ils étaient devenus les détenteurs après tant d’heures à s’y être détendue (des tendus, on le devient quand on craint d’être distendu par des tensions lors d’une séance d’étirements tortueuses).

-Voilà mon idée, idéalisa-t-il à ses compagnons d’infortune…

Et il leur exposa son idée qu’ils pensèrent (l’idée transmise est une pensée partagée). Après cette dépense d’idéaux, ils durent avouer que c’était une bonne idée, et que pour l’avoir pansée (une idée que l’on panse en est une qui a été soignée par l’esprit ; c’est un bandage spirituel) l’anonyme méritait bien de cesser de l’être… pour être !

L’idée de Anonyme (son statut étant devenue son nom, il n’était plus ce qu’on disait de lui, et ce non nommé devint dès lors, un nom nommé : le a du nom est un préfixe privatif et no nymes est un dérivé de l’expression anglaise « no names » qui se traduit (mal) par : pas de nom. Ce nominé à nom était maintenant devenu… celui qui n’est pas sans nom !) était de chercher une source d’eau souterraine. Comme il n’y avait pas plancher dans leur prison (qu’ils ne prisaient pas) et qu’ils étaient directement sur la terre (mais pas la terre de la terre), quand ils trouveraient la source, il n’y aurait plus qu’à creuser avec leurs cuillères (l’heure du dîner étant passé, ils n’en avaient plus besoin) jusqu’à ce qu’elle jaillisse, pour que ce récit devienne une histoire d’O. Et comme le hasard faisait bien les choses (surtout quand on est celui qui décide dudit hasard), il se trouvait que Einstein (l’officier scientifique) avait un grand-père sourcier qui ne lui avait rien montré de ce métier : il se sentait donc prêt à le pratiquer. Étant dyslexique, il confondait le i et le u, pour lui in compétent était un compétent (ou du fait qu’il avait des flatulences, un con pétant)…

Il ne restait qu’à lui trouver une branche d’arbre adéquate, outil indispensable à l’exercice de la sourcerie. Mais ils avaient un problème, il n’y avait aucun arbre dans leur cellule, et comme en faire pousser un aurait pris trop de temps (d’autant qu’ils n’avaient pas encore d’eau pour arroser les graines arboricoles qu’ils n’avaient pas) ils se furent déçus de le constater. Heureusement, par un nouveau caprice du destin sans dessein, (s’il était destiné, il n’était pas dessiné) parmi l’équipage il y avait un navet (rappelons-nous que les membres de l’équipage d’une navette sont des navets, rappelons-le nous parce que je ne le répèterais pas à tous les chapitres) qui s’appelait Foucault et qui possédait un pendule. C’était un cadeau qu’il tenait de son père, qui ayant d’énormes sourcils l’avait acquis sans sourciller d’un sourcier qui lui avait promis qu’avec ce pendule, il n’aurait plus de soucis aquifères (le père ne connaissant pas ce dernier mot et étant dur de la feuille, avait compris que le pendule lui enlèverait ses sourcils en calorifère). Soda passa ce mauvais souvenir à Einstein.




À défaut d’une branche perdue, il avait un ondulant pendu…

Einstein promena dans la cellule ce pendentif ondulatoire, attentif à la puissance des oscillements, et quand le pendu au bout de sa corde se mit à danser un boogie woogie endiablé, il comprit que c’était le swing (un signe qui twiste) d’une présence aquifère ! Ils avaient trouvé un lot d’eau disponible pour une effusion de liquide qui dissoudrait le métal sucré de leur prison. Et comme un mur que l’on dissout ne vaut pas dix sous, ils avaient désormais les moyens de leur intention évasive…

Mais l’eau qui jaillit étant tout autant dissolue que dissolvante, elle s’éparpilla partout dans la prison, qui n’en était désormais plus une desséchée, mais une inondée…   

samedi 13 janvier 2024

 

L’arc dans le ciel…

 

L’arc au ciel essuie les nuages,

Qui pressées, ont versés leur jus d’orage,

C’était une averse de bonnes intentions,

Que celle qu’ils ont pleuré sur nos maisons…

L’arc ancien était de couleur monochrome,

Ses teintes avaient le prisme monotone

À l’époque où la vie était en noir et blanc,

Avant que la couleur n’envahisse nos écrans,

 

L’arc essentiel s’étire au creux du firmament,

Là où le leprauchen fait tinter ses pièces d’argent.

Sans lui, l’averse ne serait qu’une pluie oubliée,

Ignorant les aquarelles du soleil fragmenté…



L’arc qui triomphe dans le ciel dénuagé,

N’est pourtant qu’un éphémère passager,

Il n’aura survécu qu’un bien court moment,

Pour nous faire oublier le crachin impertinent !

Issu du folklore irlandais, le leprechaun est un farfadet un tantinet roublard, qui aime faire des farces et compter ses pièces d'or. Un trésor qu'il conserve dans un chaudron, caché au pied d'un arc-en-ciel.