Croque-vie de mai 2018,
Baie-St-Paul. (Deuxième partie)

À la baie de
Paul, un passant
prend une
passerelle
qui
effleuve
une plage
à l'horizon
baigné par
une
autre
rive du
dessin de
Laurent.
Ses pas
esquissent
les desseins
d'un fleuve
qui se
gagne,
au temps qu'on
lui perd …
Et quand
le temps
perdu est
bien égaré,
c'est garé
sur un banc
perdu que
l'on songe
à son passage,
si récent
dans notre
vie. Si récent,
qu'on le
ressent,
comme s'il
était un
passé toujours
présent !
Les secrets échangés à l'effleure des battures, sont absorbés par la saline sérénité du fleuve. Il pourra alors les raconter dans de vagues murmures aux puissances baleinières qui le hantent... pour qu'elles puissent les chanter sur les mers du monde entier !

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