Temps perdu, tant retrouvé…
Il m’a quitté pour un instant.
Avec cet amant d’un moment,
Il m’a laissé seul sans présent.
Même le ciel s’est attristé,
De me voir ainsi désemparé.
Depuis, ses nuages sanglotent,
Et pleuvent des larmes symbiotes.
Je peux aller sur les routes sans but,
Les panneaux ont l’indication insensé,
Quand ils n’ont plus de sens avéré.
Moi, je quitte ma vieille horloge,
Pour fuir ce temps qui se dérobe,
Plus d’avant dans cet après qui s’éteint,
Ne reste que des jours sans lendemain.




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