samedi 15 août 2020


Lettre du Bleuet au Bergeronnais...
  

Il est bien ton coin de pays...



Les bateaux de Bergeronnes,

Hurlent dans leurs cornes,

À la brume qui les environne,

Aux touristes qui s’en étonnent...









Ce sont des fantômes dans le brouillard,

Des silhouettes au hasard,

Qui effleuve Laurent le saint,

Et se perdent dans le lointain...













Sur le cap des bons désirs,

Les baleines sont mortes de rire,

Elles ont la blague salée,

À Bergeron-ville... la censure cétacé !







Les rorquals y sont du commun,

Ils fréquentent les autres et les uns,

On peut les voir dans les rues du village,

Les jours de pluie quand ils y nagent !








Les sentiers ont des morillons,

Et des ours quand vient la saison,

Mais faut pas déranger les ursidés...

Quand elles sont en train d’allaiter !









 
À la Bergeronnes des plages,

C’est l’imaginaire qui voyage,

La destination est le chemin,

Et la route y est sans fin !


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