jeudi 9 novembre 2023

 

Les barres parallèles…

Chapitre 10

 Du souvenir des oubliettes, et des cafards diabétiques.


Les Spartakiens, endormis par les fleurs soporifiques des habitants cafardeux de la planète Capharnaüm, flottaient dans une incontinente inconscience, ou énurésie comateuse. Ce sommeil sans rêve, compromettait sérieusement leur mission diplomatique...

Ils étaient embarrassés par l'embrassement de Morphée !

Du fait de cette ronflante narcose, ils étaient inconscients des conséquences de leur insouciance diplomatique exobiologique : ils s'étaient fait prendre comme des bleus par les petits hommes verts, et leurs plans avaient fait chou blanc...

S'ils l'avaient su, ils eussent été rouges de honte !

Mais leurs esprits qui flottaient dans cet éther factice, finirent par revenir à la conscience de leur situation d'émissaire démis de leur liberté. Quand cessa (ce qui est ça, c'est ça) leur séjour morphinique (c'est bien connu, Morphée est une dealer de morphine), ils s'éveillèrent dans les oubliettes. Ils se rendirent aussitôt compte que ces cachots (cachés à la mémoire) étaient des oublis propres à leur faire passer un sale moment. Pour ne pas qu'ils se sentent en déficience mnémonique (les oubliettes tendent à effacer la mémoire), leurs geôliers avaient laissé bien en vue (mais mal à l'écoute) des instruments de torture encore saignants. Le message sur-entendu étant qu'ils viendraient bientôt leur faire une petite visite de courtoisie.

Quand s'éveillèrent les oubliés de l'inconscience (la conscience qui oublie devient inconsciente de ce qu'elle sait) ils furent stupéfaits de voir de si nombreuses chaînes (surtout qu'ils n'avaient pas le câble) les entraver. D'autant de plus (et par trop de moins) que c'était de biens étranges enchaînements. Ces obstructions chaînières ficelaient des parties incohérentes de leur anatomie : elles étaient attachantes, mais pas aux bons endroits ! Les liens aliens étaient conçus en fonction d'une corporalité différente de celle de leurs prisonniers : ils avaient des formes difformes pour les humanoïdes conformes aux normes de la bipédie. Ces écarts anatomiques faisaient que l'attachement des humains à leurs liens était resserrée par endroits et relâché à d'autres. Certains avaient les jambes libres, mais les mains attachés dans le dos, d'autres des colliers autour du cou, mais tellement larges qu'ils pouvaient y passer leurs têtes. C'était un véritable capharnaüm, ce qui n'était pas surprenant étant donné qu'ils étaient sur cette planète qui ne l'était pas que de nom (de nom nommé plus avant).

Maintenant revenu de leurs comateux séjour morphologique (quand Morphée se morfond) ils se consultèrent (les consuls en mission diplomatique se consultent) pour déterminer la suite des choses. Pendant ce consulat, ils s'échangèrent des informations qu'ils n'avaient pas : aucun d'eux n'avait de souvenirs de leur enfermement. Mais comme il y avait plusieurs experts parmi eux, leur ignorance ne fut pas une gêne.

-Quelqu'un a-t-il une idée de comment nous pourrions nous tirer de cette désagréable situation d'affaires ? Demanda Soda, qui était le consulaire en chef.

-Enfer, vous voulez dire monsieur, intervint un anonyme qu'on ne verra plus dans cette histoire, ni dans aucune autre à venir.

-En fer et enfer, ce sont les même affaires, surtout quand nous ne savons pas vraiment à qui nous avons à faire.

-Monsieur, intervint de nouveau l'anonyme qui ne voulait pas endosser le rôle de figurant absent qui lui avait été octroyé (octroi au refus dont l'auteur se confesse, les personnages ont leur vie propre, et les auteurs sont parfois des schizophrènes qui s'ignorent), vous n'êtes pas obligé de comprendre ce qui se passe pour prendre des décisions, vous êtes officier...

Soda prit le temps de réfléchir à ce que venait de dire son subalterne. Puis ne voulant pas voir son sous-fifre souffrir d'un manque d'attention de son supérieur hiérarchique (de son statut d'officier, il avait le souci de pas faire se sentir mal ses ouailles, il avait l'ail sensible) il opina du chef (ce qu'il était) pour lui signifier son accord.

-Il me faudrait des avis avisées sur ce qu'il nous faut faire (et non des ravis avisés qu'ils sont des faux-frères), demanda Soda à sa troupe, qui grâce à l'encordement fantaisiste des geôliers cafardeux , s'étaient pour la plupart déchaînés de leurs fers.

Il se retourna vers Einstein (qui n'avait aucun lien avec le célèbre Albertus Einstein, auteur de la théorie de la relativité élargie sur les côtés) qu'il fixa du regard. L'interpellé regardé, qui n'était pas regardant, baissa les yeux vers le sol. Il finit par relever la tête, et tout en fixant le plafond lui répondit..

-Monsieur Soda, je pense que je connais le moyen de nous sortir d'ici pour aller ailleurs. C'est une solution soluble, si je peux me permettre...

-Permettez vous mon cher. Si vous connaissez un moyen de nous sortir d'ici, dites-le nous pour que nous puissions nous évader, puis nous souvenir de ces cellules qui ne seront plus alors des oubliettes. En passant, j'aime mieux une solution soluble qu'insoluble...

-Je vais vous expliquer de quoi il en est de ma solution, et de sa solubilité à dissoudre pour un prix modique (dissoute, la solution ne valait plus que dix sous). Le matériau avec lequel est construite la prison cafardeuse pourrait être soluble dans l'eau... Ceci est la conséquence de cela : les cafards, qui sont les êtres habitants cette planète, sont amateurs de sucre. Ils en sont tellement friands qu'ils en mettent dans tous leurs matériaux de construction, afin d'avoir toujours quelque chose à se mettre sous la dent. En cas de famine, on mange les murs de sa maison !
















-Ils se sont construits des maisons en pain d'épice ?

-Oui... Et comme le sucre se dissout dans l'eau...

-Nous serons leur diabète ! Alors, nous n'avons nous navets (membres d'équipage de la navette) qu'à inonder la prison pour qu'elle fonde, lui demanda Soda. Et comment on fait ça ?

-J'aurais peut-être une solution, intervint alors l'emprisonné anonyme qui se refusait à son rôle obscur et aspirait à ce que les projecteurs se focalisent sur lui...

Et il leur expliqua son idée lumineuse (enfin, les projecteurs le projetaient) qui les réjouit par sa complexité : une solution complexe était une solution sans complexe.

Et alors...

vendredi 28 avril 2023

 


Sur la voie des sans voix...




Hier j'ai perdu ma voix,

Mon GPS est resté sans choix,

Dans une ruelle en cul de sac,

Ma parole est tournée casaque...






Demain je chercherai ma voie,

Elle s'exprimera en contre-voie,

De la marche à sens unique,

Des chroniqueurs hystériques.






Aujourd'hui la voix du changement,

Stationne chez les bien pensants,

Elle fait de la nostalgie effective,

Sur sa route pas si évolutive !







Je ne veux pas prendre le convoi,

Suivre les chemins que les cons voient,

Il y a trop d'idées de contrefaçon...

Et les nids de poule y sont légions!


mercredi 19 avril 2023

 Croque Vie : Côte-Nord 2022-2023.


Ce sont ceux de l'enfance de l'art,

Qui ont l'innocence du regard,

Pour pénétrer l'invisible,

Et y déceler l'indicible...




Sur l'enrochement des rives laurentiennes,

Où l'art de l'enfance est bien ancienne,

Le rêve d'un demain meilleur se perpétue,

Il y a tant de richesses dans les jours perdus...


Et quand l'enfance devient adultère,

Elle trahit l'art de ne rien faire,

Elle a besoin de la vue longue,

Pour redevenir une âme vagabonde !






mardi 11 avril 2023

 

Les barres parallèles…

Chapitre 9

 Des navets en potager et des vieilles sages à message.


    Un groupe de Spartakiens prit le module (il le prit, mais ne le pria pas) de transport (on dit d'une navette qui a des navets à son bord, que c'est un potager de passagers) pour descendre (ou monter, le cosmos ayant le haut et des bas relatif quant aux positions spatiales (à ne pas confondre avec position sociale, où le haut ne lésine pas sur les coups bas pour le demeurer)) sur la planète des Cafards (planète qui était non sans nom, mais oui sans non1) la Nouvelle Capharnaüm. Si cette nomination toponymique était honorifique pour les habitants de la terrestre Capharnaüm qui avait aidé les habitants de la Capharnaüm céleste à surmonter leur cafard originel, elle était tout autant horrifique pour les susdits (mais sans fellation dite) atterrés (qui venaient de la terre) : ils avaient été arraché à leur monde bibliographique (la bible est un recueil de livre, ne l'oublions pas) pour se retrouver sur ce monde de cafardage cauchemardesque.

    Dans le module de navettage d'espace végétal, les Spartakiens qui descendaient de haut en bas (ou de bas en haut, selon la perception cosmologique du descendant (ou qui prenait un remontant, allez savoir) étaient optimistes quant à leur mission diplomatique. Ils avaient l'optimum attitude en raison de l'attitude particulière des Cafards avec le non, qui l'avait écarté de leur culture en faveur du nom de toutes choses qu'ils y avaient inséré (la nominale activité)...

    Ils nommaient sans non...

  Les navets du potager spatial se disaient (se le disant se l'écoutaient) que les Cafards seraient facile à rouler dans la farine, ce qui aurait l'avantage de maquiller en blanc leurs noirs desseins.

    Mais ces derniers n'étaient pas dupes. Leur histoire leur avait cafardé l'extorsion que pratiquaient les étranges venus des étoiles. (L'histoire peut moucharder, c'est ce qu'on appelle la mouche historique). Ils avaient donc appris en fouillant leur historique mouchardage, qu'il y avait eu dans leur passé des visiteurs de l'espace, leurs passages espacés de quelques siècles, qui avaient essayé de profiter de leur renommée (ou plutôt leur reouimée) fondée sur des ouï-dire plutôt que des non-dits. Grâce à ses informations mouchardes dépassées (ou du, s'il n'y en a qu'un (passé)), les Cafards avaient l'intention de préserver leur teint noir cafardeux et demeurer ainsi des cas sans fard.

    S'ils n'étaient pas anxieux de cela (ni de ce ré, ce do, ou ce mi), c'était que les Cafards s'ils ne disaient pas non, ne disaient plus oui non plus (plus de non) depuis qu'ils avaient ouï les paroles de leur vieille sage à message (cette sagesses messagère ne parlait qu'une fois dans sa vie pour délivrer un message assagie (par le repassage de ladite sage)). Elle leur affirma lors de sa sortie manuelle annuelle de sa grotte (après maintes années grotesques) que là où il n'y avait pas de non, il ne pouvait non plus y avoir de oui. Puis elle retourna dans sa grotte d'où elle ne ressortit jamais. Et depuis ce jour de sortie sage, les cafards ne disent ni non ni oui (et non Ninon nie le oui) quand ils négocient, mais peut-être...

    Les Spartakiens furent reçus en grande pompe (ils avaient besoin de faire le plein et étant donné la taille de la navette, il fallait une pompe conséquente). Un comité d'accueil les recueillit avec des fleurs cueillis dans un champ tout près. Ce champ en était un de bienvenue (mais pas un chant de) soporifique. Ces fleurs étaient des berceuses odorantes, elles exhalaient un parfum onirique qui en faisaient des agentes de Morphée : elles morflaient les consciences de qui les sentaient, et en faisaient des consciences inconscientes...

    C'est pourquoi quand ils les reçurent, les Spartakiens les sentirent et ne sentirent plus rien. Les fleurs avaient accomplies leurs rôles d'agentes dormantes endormantes...

1- Voir chapitre précédent pour les considérations de nom sans non...


vendredi 31 mars 2023

  RÉFLEXIONS ENSEIGNANTES ET RETRAITANTES


Le prof et le bowling...
































Il est à noter qu'aucune quille n'a été blessé ou maltraiter durant la production de cette bd.

lundi 20 mars 2023

 

Les vieilles idées...


J'ai de vieilles idées dans un vieux corps,

C'est l'âge de la déraison qui m'honore...

J'ai des rides à foison qui rient de moi,

Ce sont les rides du ridicule en émoi...



Je suis un retraité en retrait,

Du monde et de ce qui paraît,

Ma calvitie en témoigne,

Elle n'est pas de celle que l'on soigne !




J'ai la sagesse en apnée,

Elle a retenu son souffle des années.

C'est une plongeuse désobéissante,

Ses maximes sont délirantes !




Je vieillis avec mes vieilles idées,

Elles seront mes compagnes de sénilité,

Et quand ma dernière nuit sera venue,

Elles ne seront que souvenirs disparus...



vendredi 3 mars 2023

Croque Vie : Baie-Comeau, Côte-Nord, hiver 2023.


Dans les sentiers où le regard se fond dans la neige,

La blanche étendue est prodigue de ses sortilèges.

La nordique randonnée a ses chemins de traverses,

L'ours, le Harfang et le lièvre y conversent...








Laurent effleure les rives de ses glaces rebelles,

Les randonneuses y rêvent un bref instant éternel,

Le temps hiberne sur la plage de Champlain *

Il a le rythme du souvenir des temps anciens...


* La plage Champlain est à Baie-Comeau.






Et du haut des rochers à l'affleurement glacé,

Le père et l'enfant partagent un peu de l'immensité,

De la côte qui a le nord déboussolé,

Et une vastitude à l'horizon si éloigné... 




mercredi 22 février 2023

 

Les barres parallèles…

Chapitre 8

 Du désordre cafardant et du Capharnaüm des Cafards.


Maintenant qu'ils avaient trouvé le moyen de contourner le champ de faiblesse du système ça l'air amorphique (ça l'air que ce système solaire ralentissait tout ce qui s'y trouvait), les spartakiens s'allèrent vers d'autres cieux (ils en avaient plein la salière de ce système). Ils avaient réussi cette extirpation salariale (le solaire rémunère de sa chaleur les habitants des planètes qui lui tournent autour) grâce à la technologie contrariante (il est d'entente humoristique ce contrat riant) que leur avait gracieusement offert Rémarche.


En beaucoup de mots, ils avaient fait une envolée extirpante des mailles du filet cosmologique amortissant, tricoté dans l'espace amorphe par l'univers relativiste (le temps est relatif dans un univers de fiction où le futur est dépassé par le présent)...


Le vaisseau avait tissé mailles après mailles leur fuite de...


Et une fois qu'il furent hors du...


Ils purent poursuivre leur escapade interstellaire vers un nouveau système autre que...


Les trois phrases précédentes ont été suspendus dans le cadre d'une expérimentation d'écriture implicite. Étant sous-entendu (et non pas entendu saoul, ce qui étant donnés les susdits propos c’eut pu (quand tu sue, ça pue)) que lesdites phrases implicitaient le système amorphe.


Ce départ interstellaire allait leur permettre de renouveler leur air (ce qui semble démontrer que lors des déplacements vers de nouveaux horizons stellaires, ''c'tait '' l'air qu'on changeait) et de voguer allégement vers un ailleurs meilleur. Ils avaient besoin de réapprovisionner le vaisseau en différentes denrées, ce qu'ils n'avaient pu faire dans ce ralentisseur cosmique qu'était le système amorphique...


Ils demandèrent à HAL, leur intelligence artificielle, (il usait d'artifice afin d'avoir l'air intelligent comme le prouvera la suite de (ce de m'implique de nouveau dans l'implicite)) de leur parler du prochain système qu'ils allaient visiter et qui se trouvait à portée de voix (ils avaient voter pour cette destination, ils l'avaient mis aux voix). Dans le nouveau systématique solarium où ils allaient, il n'y avait qu'une planète qui recelait de la vie.


-Il s'agit du monde qui est appelé Capharnaüm, commença HAL...


-Pourquoi il s'appelle comme cela ? Demanda le capitaine Georges. Est-ce parce que ses habitants sont des cafards ? Ou parce qu'ils ont le cafard ? Ou peut-être parce qu'ils ont besoin de faire du ménage dans leur capharnaüm ? Ou bien sont-ce des réfugié de la ville de Capharnaüm emporté par des extra-terrestres il y a plus de deux mille ans de cela ?


-Toutes ces raisons sont bonnes, intervint alors Soda avant que HAL ne puisse le faire (il s'était rendu compte que l'intelligence d'artifice avait trouvé ses informations dans l'atlas de la galaxie 2078 qui recensait la presque totalité des systèmes salaires (les auteurs dudit (atlas, l'implicite m'implique de plus en plus) avaient été grassement rétribué pour leur travail) dont il possédait une copie). Ce sont les extra-terrestres ayant enlevé les habitants de la ville biblique qui sont des cafards, poursuivit Soda au grand dam de HAL. Ils se sentaient cafardeux de voir leur monde en désordre, aussi quand ils ont entendu parler d'une ville qui portait le nom dudit (désordre nommé cafard, je pense implicitement) ils se dirent que si ceux-ci avaient prospéré dans une ville de désordre, ils pourraient les aider à faire de même.


















-Et, reprit HAL, d'une voix sèche (il était froissé par l'intervention de Soda, jaloux de ses informations, il n'aimait pas que quiconque se permette de fouiller ses sources), ils ont donc appris aux cafards comment résoudre le désordre planétaire qui était le leur. Ils leur ont expliqué que pour surmonter leur existence cafardante ils n'avaient qu'à nommer toutes les choses qu'il y avait sur leur monde, et qu'ainsi ils feraient des nominations ordonnées qui repousseraient leur capharnaüm existentiel, et pourraient ainsi chasser ce cafard (l'implicite s'explicite) qui leur étreignait le cœur...


-C'est donc, reprit Soda qui s'était senti frustré à son tour quand HAL lui avait volé la vedette, une population nominative qui cherchent des noms, mais qui n'acceptent pas de non (Soda avait implicité le non du nom). Il faudra donc quand nous y serons, ne pas le faire négativement, mais dans un esprit de nominatif...


-HAL, emmenes-y le Spartacus, dit Georges...


-Pffffffft, fut la réponse de L'IA frustré, qui avait décidé de bouder.


Il les emmena tout de même à destination, car si sa bouderie était désordonnée implicitement, Georges lui avait donné un ordre explicite, ce qui l'avait obligé à ranger son désordre son désordre boudhique. (Bien que Boudha ne boudait pas, il méditait en écoutant du Nirvana...)

samedi 28 janvier 2023

 

Quand le mal est invisible.




Quand le mal est invisible,

La souffrance est indicible,

Quand la maladie est mentale,

Le cœur n'est plus de métal...






Quand plus rien n'assure nos pas,

Marcher vers l'avant devient un aléas.

Quand éclate l'orage de l'amer,

Les larmes se font rivière...






Quand l'armure n'est plus que de carton,

Les flèches nous percent sans distinction.

Quand le mal est invisible,

Il n'y a plus personne d'invincible...